Révélé dernièrement dans ces colonnes, un rapport public dénonce le manque de cohérence des politiques du logement. Rien de bien nouveau pour qui se rappelle, par exemple, qu'entre 50 % et 80 % des allocations logement perçues par les ménages ont, selon Gabrielle Fack, été absorbées par les augmentations de loyer et donc captées par les bailleurs de 1973 à 2002. Comment enfin éviter de tels gaspillages alors que notre pays consacre plus de 2 points de PIB chaque année à la politique du logement ?
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